Les Voies Lyonnaises : bientôt le grand départ !

Les voies lyonnaises : bientôt le grand départ, des projets en évolution constante. Deux ans après son lancement, le projet des Voies lyonnaises continue de se développer. La Métropole de Lyon fait le point sur les travaux actuels et à venir dans l’agglomération, alors que cet ambitieux projet vise à créer un réseau de pistes cyclables sécurisées sur tout le territoire, comprenant 13 lignes et 355 kilomètres d’ici 2030.

Retard, mais la progression continue

L’objectif initial de 250 kilomètres de pistes cyclables d’ici la fin du mandat en 2026 ne sera pas tout à fait atteint, avec une estimation entre 200 et 250 kilomètres. À ce jour, 29 kilomètres de travaux sont en cours ou déjà achevés, et les élus écologistes prévoient près de 90 kilomètres de pistes d’ici l’été 2024.

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Accélération des travaux

La Métropole de Lyon souhaite accélérer la réalisation des Voies lyonnaises après des phases de concertation. Plusieurs chantiers seront lancés en 2023 et 2024 pour donner vie à ce projet d’envergure.

Défis et discussions en cours

Les Voies lyonnaises ne font pas l’unanimité, en particulier en ce qui concerne la suppression de nombreuses voies de circulation pour les automobilistes. Certaines questions demeurent en suspens, notamment celles concernant la VL 12, qui pose des problèmes d’accès à l’hôpital Edouard Herriot, et la section centrale de la VL8 dans les 7e et 8e arrondissements.

Un projet aux multiples facettes

Outre la sécurisation des cyclistes, les Voies lyonnaises visent à élargir et améliorer les intersections, à désimperméabiliser les sols, à végétaliser l’espace urbain, à implanter des équipements tels que des aires de gonflage et des points d’eau, ainsi qu’à créer des couloirs d’approche pour les bus.

Le projet des Voies lyonnaises évolue constamment, avec des travaux en cours et à venir pour concrétiser un réseau de pistes cyclables sécurisées dans la Métropole de Lyon. Bien que des défis subsistent et que des discussions soient en cours, ce projet promet d’améliorer la mobilité douce et de contribuer à la réduction de l’empreinte carbone de la région.

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